Le Désinvestissement au Travail
Un phenomene culturel ? La cause ou la consequence de l’epidemie de Burn out ? Ou bien dû à la qualité managériale d’une entreprise ?
Sujet dont on parle beaucoup en ce moment mais pour lequel il existe finalement peu de réponses solides qui offrent des solutions.
C’est un constat amère que tout le monde peut faire : nous ne sommes plus investis dans notre activité professionnelle en France de la meme façon que l’étaient nos grands-parents. Du petit employé à la caisse d’un supermarché, au cadre dirigeant, on croise de façon infinie, des personnes qui n’ont plus le soucis de bien faire, ne se sente ni au service de l’autre, ni au service de leur entreprise, des personnes qui ne portent plus la fierté de représenter leur entreprise. De plus en plus de travailleurs (et j’inclue le travailleur indépendant) considerent leur travail comme “alimentaire”.
Plusieurs causes peuvent être envisagées:
1/ Le biais psychologique: Il y a un manque de reconnaissance flagrante envers l’apport de chacun à son entreprise depuis très longtemps. Le travailleur est percu comme une addition de compétences techniques, une sommes d’heures passées au travail, et bien souvent, une personne que l’on traite au mieux comme un enfant dans une ambiance “cour d’école”, au pire comme un numéro qui devrait s’estimer heureux d’avoir un salaire à la fin du mois.
Tous ces phénomènes sont la réalité vécue par beaucoup et qui représente un biais psychologique dans le quotidien au travail.
2/ Le biais culturel: Vous vous rappelez de mythe de l’Etat Providence ? C’est la certitude presque devenue inconsciente, que quoi qu’il arrive, l’Etat pourvoit à nos besoins. C’est particulièrement présent en France, où le travailleur ne se soucie finalement plus de s’investir pleinement dans son travail dans le but de le garder, mais a l’assurance que même au chomage, il pourra survivre.
3/ L’epidémie de Burn Out: Nous ne sommes plus heureux au travail, nous nous sommes épuisé. Qu’est ce que ça veut dire ? On peut analyser ce phénomène en comprenant simplement que l’activité professionnelle n’est pas une source de joie. Combien de personnes victimes de Burn Out, envisagent un tournant à 180 degrés, se reconvertissent, pour enfin vivre de leur passion ? Pour enfin retrouver la joie de ce qui les anime et qui les pousse en avant chaque matin, qui les fait tenir devant les challenges ?
La joie est à la source de ce qui nous fait nous sentir heureux. Elle transforme même le stress en motivation et la motivation en investissement…
Quelles sont donc les solutions ?
Celui qui veut changer le monde doit commencer par lui-même !
La prise de conscience c’est bien. Ouvrir le chantier du travail sur soi, c’est mieux.
J’entends déjà les craintes des uns et des autres, qui vont dire que ce serait trop long, trop lourd, qu’ils craignent de ne plus réussir à “fonctionner”. Autant de croyances inutiles dont notre cerveau se sert pour nous faire croire que nous avons bien raison de ne pas envisager le changement. Or le changement, le vrai, celui qui vient du coeur, est capable de venir à bout de toutes les causes du désinvestissement au travail. Et in fine, il est capable de changer une société, où les personnes qui prennent la responsabilité de leur propre chantier, deviennent les exemples des masses.
On commence par quoi ?
Le travail mental, psychologique ? Encore perçu par beaucoup comme “génant”, il est le recours de ceux qui ont déjà “craqué” pour des raisons professionnelles ou personnelles. C’est un travail long et qui ne porte pas toujours ses fruits dans le concret.
La prise de conscience au travers de coaching ciblés ? Le coaching offre un tas de solutions “clés en main” pour mieux se comprendre, élaborer de nouveaux objectifs et amorcer le changement. C’est avant tout un travail mental, certes nécessaire et valorisé, mais trop souvent incomplet.
Encore peu connue mais à forte valeur ajoutée : La Kinésiologie, et particulièrement la Kinésiologie Systémique et Transformationnelle.
Les techniques qu’elle offre vont plus loin. Elles permettent d’envisager le vrai changement et de faire des pas de géant dans son bien-étre et son développement personnel.
Pourquoi ? Parce que ces techniques sont “spot on”, elles mettent le doigt sur les causes des problèmes. Elles permettent de comprendre où ils prennent racine et comment s’en défaire.
Comment ? Par une approche globale de chaque personne, avec peu ou pas de passage par le mental.
La Kinésiologie nous remet à la place du pilote, nous redonne notre puissance personnelle pour nous mettre sur le chemin de la sérénité, du bien-être, de la vitalité physique. Elle nous replace au centre de l’image de notre vie en nous recentrant sur ce qui est important pour chacun de nous, dans la compléxité de ce qui nous compose.
Quel est donc l’impact sur l’investissement au travail ?
C’est un effet domino:
Mise en ordre des priorites : En vous aidant à recentrer votre regard sur ce qui est essentiel içi et maintenant. Souvent, le désinvestissement au travail a plusieurs causes et on peut se perdre en les envisageant toutes. Le tri est important pour avancer plus vite et dans la bonne direction.
Apaisement émotionnel : la Kinésiologie, “ça pose”. L’approche globale permet de ressentir un mieux-être rapide. Même pour ceux qui n’en ressentent pas le besoin conscient, le Kinésiologue vous aide à travailler sur la reconnaissance et l’élaboration des émotions qui vous composent et détermine votre conduite.
Régulations physiologiques: Les techniques utilisées apportent un confort nouveau et enseignent à votre corps à trouver les ressources du bien-être corporel. Bien dans son corps, mieux dans sa tête. Ce postulat a fait ses preuves !
Equilibre solide retrouvé : le changement, c’est spontanné. Contrairement au changement qui nécessite un effort conscient (“demain, je commence mon régime”), le véritable changement, lui ne nécessite aucun effort, il se place simplement.
Vitalité augmentée
Joie ressentie
Motivation décuplée
Investissement au travail garanti
Il existe aujourd’hui des outils fantastiques dont les entreprises doivent se doter pour se donner les moyens de pallier non seulement au désinvestissement au travail, mais aussi pour se responsabiliser vis à vis de leurs équipes. Coupler différentes approches, entre celles qui passent par le mental et l’éducation consciente, à celles qui envisagent l’être dans son ensemble, c’est la clé du changement.
In fine, un changement sociétale indispensable qui passe par un leadership responsable au niveau global.